Astrologie et Expérience Mystique

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La «sainteté» est peut être le fait de quelqu'un, qui par son désir parvient à s'approcher de Dieu (de ce qu'est  la notion de Dieu pour lui) de façon assez suffisante sans avoir recours à des manifestations prodigieuses, ce qui suppose un travail quotidien, extrêmement dur, extrêmement pénible, pour s'extraire et se dépouiller de tout ce qui en chacun de nous n'est pas d'ordre dit "divin", en commençant par  ce sacré orgueil.

Il y a beaucoup plus de saints qu'on ne pourrait le croire, parceque l'immensité des saints reste inconnue ; ils demeurent  dans l'ombre, on n'en parle pas, on ne sait pas qui ils sont... Ces personneslà peuvent avoir eu des vies assez éloignées de ce qu'on peut concevoir comme étant la « sainteté ».

Quelque soit le personnage qui est reconnu comme « saint » par l'Eglise, vous trouverez un dénominateur commun : l'humilité.

Inversement, on peut supposer que la tentation d'orgueil peut être très grande chez les mystiques parce que, justement, ils vivent quelque chose d'exceptionnel qui n'est pas généralement partagé avec autrui.  Tous les mystiques semblent  redouter ce péché d'orgueil et supplient le "Seigneur " d'écarter cette tentation. 

Toutefois, l'extrême humilité pourrait être aussi un orgueil.

Faire le choix de renoncer à sa propre violence et s'y tenir jusqu'au bout, voilà un exemple de sainteté. 

L'origine de la vie est violence et cette violence là est symbolisée par le SOLEIL, MARS et PLUTON au BELIER ou aux tous premiers degrés du BELIER. C' est une violence, une énergie qui doit être «liée», comme disent les psychanalystes, c'est-à-dire contrôlée. 

Plus un thème est "archaïsé", plus vous avez de risques de, violence, même si MARS dans le thème ne semble pas  en position d'exprimer quelque chose de violent, car c'est de toute faàon de l'énergie l'énergie.

 

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L'Expérience Mystique

Les mystiques en fait ont traversé ce qu'il convient d'appeler l'expérience:

- Uranienne,

- puis l'expérience Neptunienne

- et sont arrivés au vécu Plutonien.

On voit ça dans l'expérience des POISSONS( avec Neptune) qui pourrait être ce silence de l'esprit, de l'intellect,  une communication parfaite, qui finalement débouche sur une «Lumière» inimaginable, d'une Beauté inconcevable ... ils parlent d'amour et de beauté et sont  systématiquement, envahis dAmour, de Beauté et de Lumière.

 

Il y a une constante chez les mystiques extatiques qui parlent de ce silence qui vient d'un seul coup, de cette absence de référent et de la privation immédiate de toute pensée, de toute parole, de toute conceptualisation possible.

Les POISSONS très POISSONS, qui veulent s'exprimer par des mots, ne possède  pas l'art de la parole, l'art des mots, et finissent bien souvent par dire le contraire de ce qu'ils veulent affirmer. 

C'est ce que disent les poètes: il faut rentrer dans la poésie, l'écouter avec une autre oreille.

Nous avons, dans le signe des POISSONS, Neptune qui joue son rôle d'annihilateur des limites, des points de repères, JUPITER du POISSONS, c'est le « Christ Enseignant », et VENUS du POISSONS, la charité, l'amour divin. 

Il y a une constante chez les mystiques extatiques qui parlent de ce silence d'un seul coup, de cette absence de référent et de la privation immédiate de toute pensée, de toute parole, detoute conceptualisation possible.

PLUTON a réellement à voir avec l'alchimie, l'alchimie intérieure, la vraie alchimie, pas celle des marchands de livre et autre prophètes.  En fait il S'agit de se transformer à l'intérieur pour être  en quelque sorte divinisé. 

PLUTON a une réputation assez ambiguë.  On en fait souvent une sorte de force sombre et dangereuse alors que, s'agissant de mystique on peut dire de PLUTON que est la Lumière si souvent recherchée. Les mystiques disent qu'ils sont captés, ravis, saisis ou foudroyés, qu'il y a un moment où les chose ont l'air de stagne, un moment où plus rien ne bouge.

Toute la démarche des mystiques consiste en faità se diviniser, à se fondre, à être tellement proches du Divin qu'ils y sont inclus, qu'ils participent à l'essence même de  la notion de Dieu.

 

Fou